L'économie française est encore trop dépendante des intérêts américains, notamment en ce qui concerne le pétrole, d'autant plus que davantage onéreux quand extrait du gaz de schiste plutôt que brut. Dans le même temps, alors que Bruno Lemaire se félicite de la soi disant bonne santé de notre économie, le déficit public s'élève à 4,7 % du PIB et la dette publique à 111,6 % du PIB, la dette française étant passée, depuis 2017 (date de la première élection d'Emmanuel Macron) de 2218 milliards d'euros à 2950 milliards d'euros.

L'accélération de la chute de la France avait commencé avec Nicolas Sarkozy et s'était poursuivie avec François Hollande. Sous Macron, c'est encore plus grave : on a dix millions de personnes inscrites au Pôle Emploi, et le taux d'industrialisation de la France est passé à 9 %. De ce point de vue, on est comparable à la Grèce. Cette désindustrialisation de la France est confirmée par les propos d'Henri Proglio, ancien PDG d'EDF : "La destruction d'EDF, drame absolu, a été structurée, voulue et obtenue", d'autant plus que notre industrie a justement besoin d'EDF.

De plus, il est clair que Macron ne veut absolument pas stopper l'immigration, estimant qu'elle "fait partie des traditions d'accueil de la France", car, comme tout mondialiste (au sens de : partisan du projet d'un gouvernement mondial au détriment des souverainetés nationales), il voit dans l'immigration un outil de destruction des nations. Déjà, le 21 juin 2017, il déclarait : "Contrairement à ce que certains disent, nous ne sommes pas confrontés à une vague d'immigration. Le sujet de l'immigration ne devrait pas inquiéter la population française".

L'Institut Montaigne va dans son sens : "L'immigration est essentielle à notre soutien économique". Voir aussi les propos de Macron cités dans le Figaro du 2 août 2023 : "Il n'y a pas de lien entre les émeutes et l'immigration". Pourtant, après le meurtre de la petite Lola, il n'y a pas eu d'émeute, ni de magasin saccagé, ni de voiture brûlée. Depuis la Révolution dite française, les républicains gouvernent toujours avec la pègre. Ceux qui dirigent la France, dans le cadre des institutions de ce régime, sont des ennemis du peuple français.

Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 120 attaques au couteau par jour, 230 viols par jour, 27600 refus d'obtempérer pendant l'année 2021, 3 homicides par jour. Concernant la volonté de Gabriel Attal d'interdire l'abaya à l'école, il y a une certaine contradiction avec le fait de continuer à soutenir l'immigration. L'absurdité, par ailleurs, de la loi de 1905 de séparation entre l'Église et l'État se lit à travers l'intervention de l'État, par la suite, dans la nomination d'évêques et de cardinaux. Les responsables du clergé français ont tout accepté.

Sarkozy, lui, a sorti un livre (Le temps des combats) pour éviter de tomber dans l'oubli. Ce qu'il ne faut pas oublier, c'est qu'il y avait déjà 300000 nouveaux immigrés par an en France sous son mandat, d'après les chiffres donnés, à l'époque, par Claude Guéant. Sarkozy n'a donc pas de leçon à donner à Macron sur l'immigration. Il ne fait que compter sur le manque de mémoire des Français, d'autant plus qu'il a ajouté : "En aidant Macron, on aide la France". On a compris que Sarkozy compte en réalité sur Macron pour arranger ses procès.

Pour rappel, les chiffres du bilan de Sarkozy : 600 tonnes d'or vendues aux Américains à bas prix et 600 milliards d'euros de dette supplémentaire, sans compter la destruction de la police de proximité, la suppression de la double peine, le retour dans le commandement intégré de l'OTAN. Sarkozy, Hollande et Macron ont appliqué la citation d'Alain Finkielkraut : "Ce pays, la France, mérite notre haine". C'est pourquoi l'intérêt de Vladimir Poutine réside dans ses attaques, à travers l'Ukraine, contre l'instauration d'un Nouvel Ordre Mondial.

Par ailleurs, le coup d'État au Niger est à mettre sur le compte, et des affaires de la Françafrique remontant à Charles Pasqua (concernant aussi le Mali et le Gabon), et des intérêts américains en Afrique, intérêts servis par les militaires africains auteurs du coup d'État en question. Pendant que les Français se font donc humilier en Afrique par les Américains, Ursula von der Leyen, en Europe, continue à exprimer son soutien (y compris financier) à l'Ukraine. On s'acharne à saigner les peuples pour des intérêts qui ne sont pas les leurs.

Vu l'impopularité de Macron et de ses semblables, on essaie encore d'effrayer les populations avec un variant du Covid-19, Eris, dans le but inavoué de faire courber les échines, comme au début de la soi disant pandémie. C'est aussi une façon de relancer les affaires pour les Pfizer, Moderna et consorts. Or, il faut encore rappeler, comme l'avait fait le professeur Montagnier, qu'une vaccination viable ne se fait qu'une fois, avec dans certains cas des rappels tous les dix ou vingt ans, sans parler de la morbidité constatée chez les vaccinés du Covid.

Dans la série des mensonges dénoncés, après l'escroquerie du Covid-19, c'est un documentaire de la BBC qui a qualifié, à son tour, d'escroquerie la propagande autour du soi disant réchauffement climatique, apportant des documents imparables à l'appui de sa dénonciation, avant d'en conclure que le réchauffement climatique actuel, comme de tout temps, dépend fondamentalement des variations solaires, ce qui correspond à un phénomène cyclique. Une fois encore, les mondialistes inventent des prétextes antipopulaires.

Ce type de documentaire est la preuve d'une honnêteté scientifique et intellectuelle, dans les pays anglophones, qui serait impensable dans la France de Macron. Pour en revenir au Covid-19, une étude publiée par Global Research montre que les enfants vaccinés contre le Covid-19 risquent de mourir plus que les autres enfants, ce à un pourcentage de 4423. Il n'y a eu aucun démenti des gouvernements occidentaux contre Global Research. Pour conclure, on ne peut que se féliciter du clip (blanc) de l'équipe de France de rugby, qualifié de pétainiste.