Le militant nationaliste fait le bilan de l'affaire Nahel et, refusant de voir la France comme un pays multiculturel, appelle en conséquence à ne pas tomber dans le piège de la guerre raciale. Pour autant, il ne renonce pas à l'idée d'une remigration ferme et juste en cas d'arrivée au pouvoir de l'extrême droite. Mais, si tel était le cas, le parti vainqueur, porteur d'un changement de régime, irait-il jusqu'au bout du tournant souhaité ? Dans l'intervalle, Yvan Benedetti encourage les Français de souche à s'équiper pour se défendre.