Les perspectives militantes nationalistes en France sont un combat permanent. Pourtant nous incarnons la vraie France, celle des principes qui ont fait la grandeur de notre pays. C'est pourquoi la république, qui représente l'Anti-France, cherche à nous censurer. L'époque de la circulaire Darmanin de mai 2023 a coïncidé avec l'explicitation de mon engagement à l'extrême droite en général et en faveur du nationalisme français en particulier. En plus d'adhérer aux Cercles Nationalistes Français du Docteur Philippe Ploncard d'Assac et d'être un soutien-abonné du journal Rivarol de Jérôme Bourbon et aussi, par ailleurs, du Syndicat de la Famille, je suis également devenu membre encarté des Nationalistes d'Yvan Benedetti (ainsi que de l'Action Française, et du Cercle des Amis de Léon Degrelle).

Je viens d'évoquer le problème de la censure, car nos ennemis sont aux manettes de ce qui tient lieu de régime politique soi-disant français (mais en fait au service de la dérive cosmopolite du monde). Ce problème s'ajoute à celui, en amont, des divisions internes. Heureusement pour nous tous, Ploncard d'Assac et Benedetti se sont rapprochés. Pour autant, il reste d'autres rapprochements à envisager. Sont-ils tous souhaitables ? Tout dépend de la sincérité des intervenants dans leur souhait d'œuvrer à l'unité bien entendu, à supposer que ce souhait existe, ce qui ne semble pas le cas chez tout le monde. Point d'interrogation, notamment, autour de personnalités comme Pierre Hillard ou Monsieur K. Comme d'autres militants et moi-même avons déjà eu l'occasion de le souligner, ce n'est pas en s'acharnant dans une critique anti-dissidence qu'ils nous rendront plus forts face à nos adversaires mondialistes. À ce propos, il me paraît intéressant de reprendre ici un commentaire que j'ai eu l'occasion de poster sur un des canaux Telegram de la dissidence française :

"Va pour les grands courants nationalistes du vingtième siècle, surtout celui de France bien sûr mais aussi, entre autres, le fascisme : ils sont tous une inspiration majeure, me semble-t-il, pour nous militants de droite extrêmes et ultras (ou, pour ceux qui préfèrent une autre appellation, nationalistes au sens réactionnaire du terme). Et va aussi, bien entendu, pour le catholicisme traditionnel canonique, ne serait-ce, en France, qu'en raison du baptême de Clovis (466-511). L'aspect martial de nos doctrines s'équilibre avec l'aspect religieux. C'était l'esprit de nos ancêtres les Croisés et c'est avec cet esprit qu'il nous faut renouer. Qu'il y ait des désaccords sur ce point chez certains, les intéressés sont-ils prêts à en débattre de façon constructive, à condition de s'accorder sur les mêmes bases doctrinales ? J'ai déjà, comme d'autres, identifié certains qui ne sont pas de notre bord (du fait, entre autres, de leur enjuivement plus ou moins perceptible) : notamment Lesquen, Abauzit, Rougeyron. Concernant Monsieur K, je trouve effectivement dommage qu'il tire à boulets rouges, dans ses propos, sur la Dissidence qu'il désigne péjorativement, car nous avons besoin d'unité face à l'adversité. L'autre question qui se pose alors est : certains individus sont-ils vraiment là pour œuvrer à cette unité ? On peut, certes, en douter raisonnablement. À suivre."

En plus des divisions internes et de l'adversité républicaine se pose le problème de la concurrence souverainiste, qui est aussi, en définitive, une adversité. Touchés par une certaine hystérie communautaire, assez typique, les sympathisants gaullistes et crypto-maçons du judaïsme politique sont tiraillés entre deux tendances : soit combattre l'extrême droite, soit faire comme si elle n'existait pas ou, éventuellement, était portée par le gaullisme. Or, pour être d'extrême droite, encore faudrait-il, à la base, que le gaullisme soit de droite. Écoutez attentivement les influenceurs souverainistes français qui publient régulièrement des vidéos pour commenter l'actualité sur YouTube et d'autres médias, et vous vous rendrez compte qu'il n'est pas important pour eux d'être de gauche ou de droite. D'où une incohérence, qui les amène en fait à occuper le terrain de la droite nationaliste pour la gauchiser. Comme je le dis depuis le début, le souverainisme est une forme de centrisme. Et Philippe de Villiers n'est pas si différent d'Emmanuel Macron, malgré une critique en surface.

Pour être au minimum de droite, il faut être conservateur en matière de mœurs (ce que je suis depuis toujours) et attaché aux valeurs du travail, du mérite, de la responsabilité individuelle dans l'intérêt commun (ce que je suis depuis toujours aussi). Pour être d'extrême droite, il faut rattacher ces deux caractéristiques majeures à une ligne réactionnaire, identitaire et autoritaire, jusqu'à intégrer le racisme, la discrimination et la possibilité légale d'éliminer nos opposants politiques en cas de sortie de régime et de victoire de notre camp (ce qui contribue à résumer mon engagement politique depuis que j'ai rejoint explicitement le nationalisme français), sachant que j'étais déjà prédisposé : 100 % hétérosexuel depuis toujours et adversaire de la première heure des lobbies de tolérance (puisqu'auteur, notamment, d'une des premières pétitions demandant l'abolition de la loi Taubira du 17 mai 2013 et le rétablissement du mariage traditionnel comme modèle de référence de notre civilisation) ; antimaçonnique, contre l'immigration et pour le rétablissement de la peine capitale (depuis toujours également, pour des raisons d'accord personnel, là aussi, avec ce qui définit, au-delà de mon seul cas, la loi naturelle au fondement de tous les projets politiques sérieux qui ont fait leurs preuves dans l'histoire).

Le principal obstacle qui m'empêchait de rejoindre le combat nationaliste était mon antiracisme générationnel, étant de 1975 et ayant connu l'école de la république dite française à l'époque du lancement de SOS Racisme. J'ai dépassé ce stade depuis lors. Quand je fais l'examen de conscience, tous les jours, de mon engagement, les éventuelles objections résiduelles qui pourraient se présenter ne résistent pas à l'analyse ni à la synthèse : je peux me regarder en face dans le miroir tous les matins et dire, en toute authenticité, que je suis dans l'orthodoxie doctrinale du nationalisme français. Un des éléments décisifs en ce sens a été la période Covid-19. Pendant que nous étions confinés, que nous subissions les pressions pro-vaccinales (auxquelles je n'ai jamais cédé, ayant même perdu un CDI du fait de mon refus) et les files d'attente à l'entrée des commerces, je me suis aperçu, comme d'autres Français, que l'immigration de masse continuait à nous submerger avec l'aval des politiques. C'est là que j'ai pleinement réalisé l'importance de la notion de race à l'aune de nos intérêts propres et de la possibilité, même ténue pour l'instant, d'inverser le mouvement.

L'alternative consiste alors, soit dans une réserve face aux questions raciales, soit dans un racisme construit. Le levier de la réserve à ce propos concerne plutôt les questions politiques dont les incidences raciales ne revêtent pas nécessairement un caractère prioritaire ; par exemple : mon mépris et mon rejet de la franc-maçonnerie ont précédé mon racisme, la franc-maçonnerie étant un obstacle à la radicalité politique, qui est aussi l'extrémisme politique (seuls les souverainistes, qui sont des gens faux et mondains, osent encore se prétendre "radicaux sans être extrémistes", ce qui n'est pas peu dire de leur tiédeur caractéristique ni de l'embarras de leur position). Le levier du racisme construit, lui, se justifie notamment face à la corrélation de plus en plus évidente entre l'immigration et la question de l'identité ethnique telle que pensée, en profondeur, dans le cadre de notre critique des projets anti-civilisationnels ; par exemple, la légitimité du rejet de l'immigré maghrébin, noir africain ou métèque des pays de l'Est ne doit pas nous faire oublier que, à la base, ce sont les Juifs qui veulent que les gens se mélangent car, majoritairement et malgré les Éric Zemmour et autres Sarah Knafo, ils croient encore pouvoir tirer profit de l'indifférenciation ambiante pour se fondre dans la foule et garder la main, à la place des vrais Français, sur l'argent et sur les postes à responsabilité : une civilisation française forte, pure et blanche, n'est pas dans l'intérêt des Sémites, mais dans le nôtre, celui des Aryens. Voir, à ce propos, cet autre commentaire que j'ai posté sur un canal Telegram de la dissidence française :

"Concernant la "minorité agissante", une solution serait de lui interdire d'accéder à des secteurs-clés (comme la finance, les médias et la politique) et, tous secteurs confondus, de lui interdire l'accès à des contrats de management (et aussi de communiquer avec ses homologues des autres pays). Il est clair que seul le nationalisme est déterminé à mettre en place une telle solution, d'où la virulence de la censure à notre encontre. Patience et longueur de temps." Certains Juifs nous reprochent de n'avoir aucune solution viable les concernant, puisque nous ne voudrions d'eux ni en France, ni en Israël. En fait, il est facile de répondre à cette objection : le projet israélien ne semble pas viable car les Juifs, culturellement, héréditairement, ne sont pas assez motivés par l'enracinement géographique ni par l'idée de construire une nation stable, étant trop attachés au nomadisme de par les circonstances où ils sont apparus et se sont développés au fil des siècles : pour eux, Israël demeure davantage une image mythique à laquelle ils s'accrochent, plutôt qu'une réalité de terrain. D'ailleurs, le Grand Israël lui-même relève d'une notion pathologique : celle de l'incapacité à envisager des frontières bien arrêtées, du fait de la nature évasive de cet ensemble de peuples et de communautés qui, sous des revendications d'homogénéité, ont perduré par le métissage. En revanche, on peut accueillir des Juifs dans différentes nations, mais c'est à nous, nationaux de par le sang, de leur imposer nos règles. Et non l'inverse.

Le mandat d'arrêt de la CPI contre Benyamin Netanyahou ne signe pas l'arrêt de mort de l'État d'Israël : il ne fait que confirmer cet arrêt de mort. Mais les autres pays, soit n'ont pas les moyens (stratégiques, militaires) de faire comprendre aux israéliens sionistes le caractère nul et non avenu de leur projet, soit ferment les yeux par complaisance. Puis viennent des commentateurs proches de la ligne officielle promue par les médias les plus visibles, comme Alain Finkielkraut, pour dire que, oui, ce qu'a fait Netanyahou est condamnable, mais qu'il ne faut pas, pour autant, mettre tous les Juifs à la même enseigne. Pourtant, ainsi que l'avait encore montré Ploncard d'Assac dans l'une de ses conférences de 2024, le peuple juif est à nul autre pareil. Ses relations d'infiltration progressive des autres communautés, ou de massacre de ceux qui se dressent sur leur route, n'ont pas d'équivalent exact dans l'histoire, même chez d'autres peuples guerriers.

Par exemple, nous, nationalistes, que nous soyons Français, Belges, Allemands, Italiens, Espagnols, Portugais, Roumains, etc., bien qu'attachés aux valeurs militaires, sommes également capables d'envisager la coopération. Aussi extrêmes soient-ils, les nationalismes européens n'excluent pas, dans leur doctrine, le recours à la voie diplomatique. Or, quand on voit comment les Juifs se comportent en France en temps de paix, prêts à alerter le CRIF à la moindre critique et à faire mettre en prison ceux qui ont un avis différent du leur sur l'histoire (comme notre camarade Vincent Reynouard), et comment, à plus forte raison, Tsahal se comporte à Gaza, incendiant littéralement des familles entières par milliers, femmes et enfants compris, il faut bien reconnaître qu'il existe un syndrome du peuple qui se croit élu de Dieu et, je serais tenté de dire : qui se croit élu de Dieu au détriment de Dieu même, s'il le juge nécessaire. Autrement dit, si un Juif est amené à choisir entre son statut d'élu et Dieu, il choisira son statut d'élu. Ce, même si ce statut ne repose que sur une vieille croyance sans fondement.

Nos détracteurs ne manqueront pas de nous répondre que nous-mêmes voulons, au nom de notre nationalisme, instaurer un État réactionnaire, identitaire, autoritaire, raciste et discriminatoire. À cette objection, nous avons, là aussi, plusieurs réponses. Premièrement, en tant qu'Aryens nous sommes chez nous en France : c'est à nous de faire la loi en accord avec nos principes civilisationnels, et à dire qui peut ou non rester chez nous et sous quelle condition, c'est pourquoi nous n'avons pas, sur notre terre et sur la terre de nos ancêtres, à subir la censure des Sémites ni celle de n'importe quel autre peuple qui n'est pas blanc (étant entendu que seuls les Aryens, les Indo-Européens, représentent les véritables Blancs). Deuxièmement, les Israéliens ne sont pas chez eux sur la terre à laquelle ils ont, indûment, donné le nom d'Israël. Troisièmement, parce que nomades, comme les Gitans ils n'ont de chez eux nulle part, aussi, là où ils vont ou demeurent, doivent-ils faire preuve d'humilité, de reconnaissance pour l'accueil qu'ils reçoivent. Quatrièmement, il ressort que la sédentarité se mérite : déjà, il faut l'avoir dans sa culture ; ensuite, il faut travailler pour porter la civilisation à un niveau toujours plus élevé : celui qui tient compte de l'intégrité individuelle de ses ressortissants, de la différence de nature entre la sphère publique et la sphère privée, de la noblesse du comportement discipliné, austère, ainsi que de la pudeur et de la réserve qui l'accompagnent, de la distance, de la pratique du vouvoiement. Cinquièmement, contrairement à la démocratie républicaine qui censure à tour de bras, nous ne voulons pas du pluralisme : nous ne prenons personne en traître, nos données sont claires dès le départ et, parce que nous sommes civilisés, nous ne tirons pas sans sommation.

Les Juifs pourraient même s'estimer en position favorable à leur égard sous un régime nationaliste français, car d'autres connaîtraient un sort bien moins enviable que le leur. Car, que suis-je en train de dire ? Que les Juifs auraient le droit de continuer à vivre en France, mais pas d'accéder à des secteurs-clés, ni à des postes de responsables, ni à la possibilité de communiquer avec des Juifs d'autres pays (ce, pour éviter les réseaux mondialistes tels que ceux qui détruisent les nations) : à part ces restrictions de base, ils auraient le droit de circuler, de travailler, de consommer, de se divertir au même titre que les Français de sang. Quand je précise que d'autres connaîtraient un sort bien moins enviable que le leur, je pense, bien évidemment, aux francs-maçons et aux minorités de mœurs. Quant aux Maghrébins, aux Noirs et aux métèques des pays de l'Est, la plupart d'entre eux n'auraient droit qu'à un aller simple pour le pays d'origine de leurs ascendants. Et seraient contents de s'en tirer à si bon compte, si nous avions une armée digne de ce nom pour les faire partir au son des mitraillettes.

Concernant les francs-maçons, toujours dans l'hypothèse de notre victoire politique, avant d'interdire la franc-maçonnerie nous devrons noter tous les noms de ses membres, afin qu'ils ne maintiennent pas leurs réseaux dans la clandestinité ; puis, quand la balance institutionnelle penchera de nouveau en notre faveur sous l'effet de notre action, de notre patience et de notre persévérance, frapper vite et fort selon les termes du droit pénal que nous aurons institué. Concernant les minorités de mœurs, je préconise, depuis le début, la mise en place politique et légale d'un traitement de type tchétchène façon Ramzan Kadyrov. On peut difficilement être plus clair, et il faut vraiment que ces gens-là soient aveugles pour ne pas voir un ennemi en face d'eux quand ils sont censés en voir un. Car je suis leur ennemi depuis toujours. Et toujours pour la même raison, d'intérêt général : la défense de la loi naturelle. Comme l'histoire le prouve partout, il n'y a de civilisation solide et profitable à son peuple que sur le socle de la famille traditionnelle, où les hommes restent des hommes, où les femmes restent des femmes, et où l'inégalité fait la force.

Au-delà des témoignages personnels, il existe un mouvement de fond populaire qui appelle la radicalité, l'extrémisme, une saine volonté d'asséner un grand coup. Pourquoi ? Pour permettre à la France de redevenir un grand État-nation, qui profitera à tous les vrais Français. Est-ce parce que notre voix nationaliste est étouffée par le régime républicain et ses relais médiatiques, il semble que les Français se rabattent sur les lumières illusoires que l'on agite devant eux (Marine Le Pen, Jordan Bardella) ou à l'horizon atlantiste (Donald Trump, Elon Musk). Lumières illusoires car portées, là encore, par les velléités israéliennes. Fin 2024, le conflit russo-ukrainien est toujours engagé. Par ailleurs, depuis la chute de Bashar el-Assad en Syrie, le nouveau régime syrien dit ne pas "avoir de problème avec Israël". Quant à l'entité sioniste elle-même, je n'ai pas vu un mariniste ni un trumpiste s'interposer, même de loin, même en parole.

Outre l'instabilité politique gouvernementale de la France, qui voit l'improbable François Bayrou succéder à l'éphémère Michel Barnier, notons le retour scandaleux de l'un des pires ennemis de la cause nationaliste française : Manuel Valls (à l'Outre-mer), symptôme des affinités de la république avec une certaine communauté déjà largement évoquée. Souvenons-nous que c'est Valls qui, alors ministre de l'Intérieur sous François Hollande, annonçait la dissolution de Troisième Voie et des Jeunesses nationalistes révolutionnaires le 10 juillet 2013, puis celle de l'Œuvre Française le 24 juillet 2013. L'occasion de rappeler, à ce propos, la réaction d'Alexandre Gabriac à l'époque, réaction toujours d'actualité : "Croire que dissoudre avec un bout de papier nos assos stoppera notre détermination et notre avancée relève du fantasme. L'avenir est à nous". Il avait raison de dire que l'avenir est à nous. Déjà, aux États-Unis, le wokisme prend du plomb dans l'aile. C'est certes sans compter sur la bêtise des enseignants de l'Éducation nationale hexagonale qui, malgré l'échec des minorités puériles et braillardes, et même si la Californie s'effondre, continueront à promouvoir l'idéologie du libertinage et de la déviance même dix ans après l'hécatombe. La France doit malheureusement s'attendre à subir pendant longtemps encore l'agenda de tolérance. Mais ce n'est qu'une question de temps avant que, face au déni et à l'abrutissement gauchistes, la réalité ne reprenne ses droits. Violence du retour oblige.

Nos ennemis voyant le rejet massif que suscitent leurs politiques inclusives, la volonté d'étouffer l'extrême droite en France a bien été analysée dans nos rangs : l'extrême centre a besoin de deux flotteurs, l'un à gauche (antisémite mais woke) et l'autre à droite (anti-woke mais philosémite), de sorte que notre position nationaliste française (à la fois antisémite et anti-woke) n'atteigne pas la majorité silencieuse. Pourtant, nous sommes, nous les militants de la droite réactionnaire, ceux que la majorité silencieuse cherche sans le savoir. Et c'est bien cette relation profonde à la population blanche et enracinée de France (car nous sommes tous des gens de terrain) qui incite les institutions corrompues à faire tout ce qu'elles peuvent, à leur niveau, pour que nous ne soyons ni lus, ni entendus, ni vus, ni connus. Car ceux qui parmi nous acquièrent une plus grande notoriété, nos chefs politiques, nos référents, sont les cibles d'une prétendue justice vendue à des intérêts communautaires qui n'ont aucun lien de parenté avec nos ancêtres. Une prétendue justice soi-disant française qui ne supporte pas le nom de Pierre Sidos (1927-2020) ni même celui de sainte Jeanne d'Arc (1412-1431).

Les perspectives des années à venir s'annoncent difficiles pour les vrais Français. Il faut tenir. Et faire preuve, encore une fois, d'aptitude à se projeter dans le long terme. Aller à la rencontre du peuple appelé à nous rejoindre. Prudemment. En évitant les francs-maçons, les rotariens et assimilés. Créer, promouvoir nos propres réseaux tout en court-circuitant, en somme, ceux que la république a mis en place pour nous empêcher de porter la dissidence au pouvoir. Nous montrer impitoyables face aux tentatives d'infiltration. En bref, je ne comprends pas pourquoi certains continuent à me parler d'humanisme. J'ai toujours rejeté l'humanisme (trop général, trop abstrait), et c'est pourquoi je suis devenu, en conséquence, militant nationaliste (en communion avec mes racines). Quant au travail, je maintiens une distance froide par rapport au climat démocratique dans lequel baigne l'entreprise, et recommande généralement à tous les nôtres de conserver, comme je le fais, des échanges strictement professionnels avec leurs collègues et clients. Malgré les obstacles qui nous sont imposés ainsi que les distances que nous devons imposer, il existe des chemins à prendre. Il n'importe pas que tous les chemins soient praticables, mais que les chemins que nous pouvons pratiquer nous mènent au but que nous voulons atteindre.